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Demande de soumission

Que possédez-vous qui a la plus grande valeur? La maison et les véhicules viennent immédiatement à l’esprit. Mais, c’est votre capacité de gain qui exerce la plus grande influence sur votre santé financière. Votre maison et vos véhicules sont assurés, mais qu’en est-il de votre capacité à gagner un revenu?

Prenez quelques minutes pour évaluer l’ampleur de votre capacité de gain et savoir pourquoi et comment la protéger.

Perspective

La plupart des biens que vous possédez et que vous posséderez dépendent de votre capacité à gagner un revenu, ce qui rend cette capacité précieuse et en fait l’actif le plus important dont vous disposez. En résumé, savez-vous ce que vaut votre capacité à générer un revenu?

Essayez ce calculateur pour vous faire une idée ou communiquez avec notre bureau pour en savoir plus à ce sujet.

Url : Un héritage peut réserver des déceptions | JDM (journaldemontreal.com)

Ce n’est pas comme tirer le numéro gagnant à La poule aux œufs d’or, mais se faire annoncer par quelqu’un qu’il nous a réservé une petite place sur son testament peut dissiper certaines inquiétudes quant à l’avenir.

La nouvelle sera d’autant plus rassurante si le testateur est âgé et en moyens. En fin de vie et riche, c’est encore mieux, ça lui laissera moins de temps de dépenser et de changer d’idée en faveur de quelqu’un d’autre. https://d64c26ab24a2d5bf5eab6dae2028692d.safeframe.googlesyndication.com/safeframe/1-0-38/html/container.html

Il y en a comme ça dont les projets de retraite reposent sur l’espoir d’un héritage. Une planification ne doit pas être évidente, car pour bien faire ses calculs, on doit avoir une idée de ce qu’on recevra. Est-ce que ce sera un objet sentimental ou une grosse somme d’argent ? Avouez que c’est délicat à demander.

Vous vous reconnaissez ? Je ne veux pas péter votre balloune, mais le fait d’apparaître sur un testament offre une mince garantie.

Votre part dépendra de la taille de la succession, du nombre d’héritiers et du rang qu’on occupe parmi ceux-là. 

Bref survol. 

Les bénéficiaires

Le statut de bénéficiaire est sans doute le plus solide, et il n’apparaît pas dans le testament. Il est inscrit sur un contrat d’assureur. On peut être désigné bénéficiaire d’une assurance vie, d’une rente ou de fonds distincts. C’est là un avantage des produits d’assurance (même pour les fonds distincts, un produit d’investissement dont je ne suis pas particulièrement fan), ils permettent de contourner la succession. Le bénéficiaire passe donc avant tout le monde, et l’argent lui est remis directement par l’assureur, sans attendre le règlement de la succession. 

On peut également être nommée bénéficiaire d’un régime de retraite. Les modalités peuvent varier, selon le cas. 

Les créanciers

Ils peuvent être nombreux et anéantir tout espoir d’un gros héritage. Le fisc, d’abord, prendra sa part sur la plus-value des actifs. Il considère les biens comme s’ils avaient été vendus le jour du décès de leur propriétaire. Ça inclut REER, CRI, FERR, FRV et immeubles, à l’exception de la résidence principale. (Certains actifs financiers contenus dans un compte enregistré, comme ceux que je viens d’énumérer, peuvent cependant être « roulés » vers un conjoint sans franchise d’impôt.)https://d64c26ab24a2d5bf5eab6dae2028692d.safeframe.googlesyndication.com/safeframe/1-0-38/html/container.html

Outre les dettes envers les institutions financières prêteuses, la succession doit aussi rembourser les créances découlant du partage du patrimoine familial et de la dissolution du régime matrimonial.

Les créanciers peuvent aussi compter un ou des bénéficiaires d’une pension alimentaire. Évidemment, la succession devra aussi régler les factures en suspens, les services professionnels ainsi que les frais funéraires.

Les légataires

Les légataires sont les héritiers à qui on destine une part précise de nos actifs, que ce soit une somme (exemple : 100 000 dollars) ou un bien (exemple : la voiture). 

On peut les considérer au même titre que les créanciers, mais parmi les derniers dans l’ordre de priorité.  

Les « petits » héritiers  

Ce qui reste (le résidu) est partagé entre les héritiers dans les proportions prévues par le testateur. Non seulement sont-ils à risque de ne rien recevoir, mais ils pourraient se retrouver devant une succession déficitaire. Heureusement pour eux, ils ont toujours la possibilité de refuser l’héritage, donc les dettes. 

S’ils comptaient là-dessus pour financer leurs vieux jours, ils risquent d’être déçus. Et doublement.

Url : https://www.journaldemontreal.com/2019/01/07/labc-pour-se-constituer-un-fonds-durgence

Bien que le taux d’endettement des familles canadiennes se soit stabilisé au dernier trimestre de l’année, il est tout de même à 177,4 %. Cela signifie qu’en moyenne, les citoyens du pays ont une dette d’environ 177 $ (marges, cartes de crédit et hypothèques) pour chaque tranche de 100 dollars de revenus que leur ménage gagne.

Il suffirait donc d’une petite étincelle économique, comme un ralentissement du nombre d’heures travaillées en 2019, pour que de nombreuses familles se rapprochent de l’insolvabilité. Et pour ajouter un peu plus d’incertitude, une récession nord-américaine pourrait bien nous toucher d’ici 12 à 18 mois.

Pour atténuer les effets ou, encore, juste pour vous donner une marge de manœuvre, assurez-vous d’avoir un fonds d’urgence suffisamment garni.

De trois à six mois de dépenses

D’ordinaire, pour un salarié, on va recommander qu’un fonds d’urgence adéquat contienne en épargne l’équivalent de trois à six mois de dépenses courantes. Par exemple, si vos obligations fixes et dépenses du mois totalisent 2500 $, alors il vous faudra entre 7500 $ et 15 000 $ de côté. Pour les travailleurs saisonniers et les travailleurs autonomes, six mois d’économie représentent à mon avis un minimum.

Afin de moduler le montant nécessaire, plusieurs variables doivent être considérées. Il faut tenir compte des points suivants :

  • Prêts et marges assurés
  • Assurance maladie complémentaire
  • Assurance couvrant l’hypothèque
  • Admissibilité à l’assurance emploi
  • Couverture d’assurance invalidité
  • Nombre de personnes composant le ménage
  • Stabilité des revenus, etc.

Votre fonds d’urgence ne doit pas se trouver dans votre compte bancaire d’opérations, mais bien en sûreté dans un compte spécialement dédié à la prévoyance.

Où placer son fonds d’urgence ?

Ici, il ne s’agit pas de faire des investissements, mais bien de « dépôts ». L’objectif n’est pas de faire fructifier au maximum cette épargne, mais plutôt de protéger vos arrières. Ces sommes d’argent doivent être placées en sécurité et disponibles en tout temps, sans entrave, ni frais, ni pénalité. Vous ne pouvez donc pas les déposer n’importe où et n’importe comment.

Les comptes bancaires à haut rendement sont parfaits pour cela. Ne vous contentez pas de moins de 1,5 %. Les fonds de type marché monétaire et les CPG rachetables sont aussi valables. Vous devrez éviter tous les investissements pouvant subir une variation de valeur, comme les actions en bourse, les fonds équilibrés et de revenus, les FNB, les obligations, les CPG liés aux marchés et tous autres produits non rachetables avant terme.


♦ Fabien Major est conseiller en épargne collective pour Major Gestion Privée Inc. de Gestion financière Assante ltée.

CONSEILS

  • Avant que l’économie ne ralentisse, payez vos dettes coûteuses (dont le taux d’intérêt est le plus élevé)
  • Dotez-vous d’un fonds d’urgence bien garni
  • Il doit contenir de trois à six mois de dépenses courantes
  • Votre fonds d’urgence ne doit pas être accessible via votre carte de guichet
  • Un compte d’épargne à haut rendement fait l’affaire
  • Des banques virtuelles et compagnies d’assurances offrent des taux garantis et protégés de 1,5 % et plus
  • Les CPG non rachetables, les actions et fonds équilibrés ne conviennent pas

Url : http://www.lesaffaires.com/mes-finances/immobilier/les-avantages-de-linteret-decompose/607251

Un des plus grands postes budgétaires des ménages est le remboursement du prêt hypothécaire. Lorsqu’on effectue un paiement hypothécaire, une partie du montant s’en va en paiement d’intérêts à l’institution financière et l’autre s’en va en capital pour réduire la dette.

Sachant que plus de 80 % des propriétaires âgés de 25 à 45 ans détiennent une hypothèque, cette dépense pèse lourd sur le budget des Québécois. En moyenne, ces derniers prennent 25 ans pour rembourser leur prêt hypothécaire. Imaginez le montant d’intérêts qui est versé à l’institution financière durant toute cette période!

La plupart d’entre nous connaissent les avantages de l’intérêt composé, qui consiste principalement à faire de l’intérêt sur de l’intérêt, ce qui permet à long terme d’augmenter de manière considérable le capital investi. Mais que diriez-vous d’en savoir plus sur ce que j’appelle « l’intérêt décomposé » ?

L’intérêt décomposé, c’est de l’intérêt épargné, donc de l’argent supplémentaire dans vos poches, lorsque l’hypothèque est payée plus rapidement. Comme l’intérêt composé, un petit montant supplémentaire ajouté à votre paiement hypothécaire peut faire une grande différence, surtout sur le long terme.

Un moyen d’épargne

Payer plus rapidement son hypothèque peut aussi être un moyen d’épargne.

Prenons l’exemple de Martin et Julie. Ils ont 30 ans et détiennent une hypothèque de 200 000 $ dont la période d’amortissement restante est de 25 ans. Pour les besoins de l’exercice, nous émettons l’hypothèse que le taux d’intérêt sera constant, à 4 %.

Si Martin et Julie paient le versement mensuel minimum requis, qui est de 1 052,04 $ par mois, pendant 25 ans, ils auront payé plus de 37 000 $ en intérêts… sur 5 ans! Sur 25 ans, c’est plus de 115 000 $ en intérêts qu’ils auront payé. Bref, leur hypothèque de 200 000 $ va leur coûter 315 000 $ au bout de 25 ans, soit environ 250 000 $ en dollars d’aujourd’hui.

Lorsque le taux d’emprunt sur l’hypothèque est supérieur au taux de rendement espéré sur les épargnes REER, l’accélération du paiement de l’hypothèque représente une option intéressante.

Évaluons trois hypothèses:

1. Martin et Julie décident de prendre leur café à la maison plutôt qu’au café du coin et mettent ainsi l’équivalent de 4 $ de plus par jour sur leur paiement hypothécaire. Ce montant représente 120 $ de plus par mois. L’impact de ce changement d’habitude permettra au couple de payer son hypothèque 4 ans plus tôt et d’économiser 21 000 $ en intérêts.

2. En plus de leur nouvelle habitude de prendre le café à la maison, Martin et Julie décident d’apporter un lunch maison de plus par semaine au travail. Ils peuvent ainsi ajouter l’équivalent de 80 $ par mois sur leur paiement hypothécaire. En faisant cela, ils paieront leur hypothèque 6 ans plus tôt et économiseront 31 000 $ en intérêts.

3. Finalement, Martin et Julie se serrent les coudes et décident d’acheter deux bouteilles de vin de moins par mois. Ils rajoutent un montant supplémentaire mensuel de 40 $ sur leur paiement hypothécaire. Avec ces 3 hypothèses combinées, ils paieront leur hypothèque 7 ans plus tôt et économiseront plus de 35 000 $ en intérêts.

Martin et Julie économiseront des dizaines de milliers de dollars en changeant certaines de leurs habitudes financières. Cela peut sembler comme un sacrifice, certes, mais payer plus rapidement leur hypothèque leur permettra de mettre des dizaines de milliers de dollars de plus dans leur poche.

Ainsi, dire non à quelque chose permet de dire oui à autre chose. En payant leur hypothèque plus vite, ils pourront peut-être prendre leur retraite plus rapidement, ou encore se payer le bateau dont ils ont toujours rêvé.

En ce début d’année, trouvez vos sources de motivation, car certains petits changements d’habitudes peuvent vous faire gagner gros. Surtout, n’oubliez pas d’avoir du plaisir à vous occuper de vos finances!

Bonne année à tous.

Amine Chbani, MBA, Pl. Fin.

Url : http://www.journaldemontreal.com/2018/07/04/quadvient-il-du-reer-lors-du-deces

 

Le régime enregistré d’épargne retraite (REER) n’a pas fini de révéler ses secrets. Aujourd’hui nous présentons un des aspects les plus méconnus du REER, soit ce qu’il devient après le décès du titulaire.

Si dans nos volontés, nous désignons notre conjoint(e) comme bénéficiaire de nos régimes de retraite, la chose est archisimple. Ils sont « roulés », c’est-à-dire transmis à l’autre sans impact fiscal. Ils poursuivent leur croissance à l’abri de l’impôt entre les mains du conjoint. C’est lorsque nous les transmettons à nos enfants, à nos frères, sœurs ou autres proches que ça se complique. Une transmission improvisée pourrait entraîner des résultats inattendus ou pires, pénaliser ceux qu’on souhaitait favoriser.

Les enfants héritent des REER

Si vous léguez votre REER à un enfant ou petit-enfant à charge, la somme totale sera imposable entre ses mains, mais pourrait être utilisée pour acheter une rente imposable en vigueur jusqu’à sa majorité.

Pour les enfants handicapés, il est autorisé de « rouler » le régime comme s’il s’agissait d’un conjoint. Ce seront, donc, les versements qui deviendront imposables.

Dans le cas où les héritiers du régime sont des enfants majeurs (ou non à charge), frères, sœurs, amis, voisins ou autres ; les actifs détenus dans le REER ou le FERR vont s’ajouter aux revenus à déclarer du titulaire dans sa dernière déclaration d’impôt.

Cela peut entraîner des conséquences fâcheuses :

A-Une facture d’impôt plus importante que prévue

B-Certaines iniquités

Imaginez le cas d’Antony, un homme dans la cinquantaine qui a 5 enfants âgés de 6, 9, 15, 18 et 21 ans issus de deux unions. Ce dernier décède subitement et laisse en héritage son REER de 500 000 $ en parts égales entre ses enfants. Les trois mineurs recevront leurs tranches de 100 000 $ imposables dans leurs mains, et les deux autres recevront leurs parts intactes. Dans cette situation, les tranches de 100 000 $ des plus vieux leur seront octroyées en totalité, car c’est le défunt père qui sera imposé.

Pour éviter que les enfants ne reçoivent des montants inégaux, il faut prévoir dans le testament une « clause d’équité ».

Avec cette instruction, le liquidateur de la succession pourra équilibrer les montants à verser en fonction de l’imposition propre. Il sera mieux outillé pour respecter à la lettre les volontés du défunt.

Rappel

  • La croissance qui s’accumule dans un CELI après le décès du titulaire est imposable. Ce sont uniquement les bénéfices accumulés du vivant qui sont exemptés.
  • Il est possible de transférer un CELI vers un conjoint survivant sans impôt et sans réduction de ses droits de cotisation.
  • Au Québec, les sommes accumulées dans un régime immobilisé comme un CRI et un FRV peuvent être « roulés » au conjoint survivant dans un REER ou FERR. Le décès du détenteur entraîne la « désimmobilisation ».
  • Ailleurs au Canada, ces régimes demeurent immobilisés pour le survivant.

 

Url : http://www.journaldemontreal.com/2018/05/26/le-choc-financier-apres-une-maladie-professionnelle

 

 

 

Url : http://www.journaldemontreal.com/2018/05/26/le-choc-financier-apres-une-maladie-professionnelle

 

 

Comme dit le proverbe : l’amour est aveugle. C’est ce qu’a appris à ses dépens Gabriel, 59 ans, dont l’ex-conjoint s’est envolé avec toutes ses économies…

Désormais retraité, Gabriel a décidé de se consacrer à sa passion : la peinture. Il peint des paysages, en particulier maritimes, et réussit même à vendre le produit de sa création. L’an dernier, il a ainsi gagné 30 000 $ grâce à ses œuvres, ce qui vient arrondir sa pension de retraite qui s’élève à 1500 $ par mois.

Il y a trois ans, Gabriel a rencontré Simon lors d’une exposition. Ils sont tombés amoureux et les deux ont rapidement décidé de s’installer ensemble. Le loyer de leur futur logement, un loft luxueux avec vue sur le fleuve à Montréal, est de 2500 $ par mois. Simon est représentant et semble être à l’aise financièrement. Gabriel n’a donc aucune inquiétude sur sa solvabilité et vogue sans souci sur une vague de bonheur. Malheureusement, les choses n’allaient pas prendre la tournure espérée.

Confiance aveugle

En effet, le jour de la signature du bail du nouveau logement, Simon a dû se rendre à Québec pour finaliser une transaction avec un client important. Afin de ne pas manquer cette occasion en or, d’autant plus que le propriétaire leur accorde un mois de loyer gratuit, Simon demande à son conjoint de signer le document seul. Il s’engage à lui verser la moitié du loyer chaque mois. Gabriel s’exécute sans difficulté, puisqu’il fait entièrement confiance à son amoureux.

D’ailleurs, ce dernier l’aide à garder ses affaires en ordre, puisque l’artiste peintre n’aime pas s’occuper de chiffres ou de comptabilité. Récemment, il a même reçu un avis d’interruption de service du fournisseur d’électricité, puisqu’il avait négligé de payer les factures. « Pour faciliter les choses à Simon, Gabriel lui a donné accès à son compte bancaire par internet. Et au cas où il manquerait d’argent pour payer les comptes courants, puisque les revenus issus de la vente de tableaux sont irréguliers, il lui a aussi confié sa carte de crédit afin de combler le manque à gagner éventuel », précise Stéphane Gauvin, syndic autorisé en insolvabilité chez Raymond Chabot.

Acculé à la faillite

Tout semble aller pour le mieux dans le meilleur des mondes, quand Simon disparaît sans explications et sans laisser de traces. Horrifié, Gabriel se rend compte que son amoureux a aussi filé avec tout l’argent qu’il possédait, en plus d’avoir utilisé sa carte de crédit jusqu’au plafond maximum, soit 25 000 $. « Comme un malheur n’arrive jamais seul, Gabriel a aussi fait l’objet d’un contrôle fiscal et il doit rembourser des impôts et des taxes pour la vente de ses tableaux, pour un montant de 5000 $ », explique Stéphane Gauvin.

Incapable de payer son loyer, il accumule un retard de 7500 $, et le propriétaire lui a envoyé une mise en demeure. À cela s’ajoute un prêt personnel de 8000 $ ainsi que 1200 $ de facture d’électricité en retard, pour un total de 46 700 $ de dettes. « Avec une rente de retraite mensuelle de seulement 1500 $ par mois et des revenus issus de la vente de ses œuvres très irréguliers, Gabriel n’a eu d’autre choix que de faire faillite. D’ailleurs, il n’aurait pas été en mesure d’assumer une proposition de consommateur », souligne Stéphane Gauvin.

Qui plus est, des problèmes cardiaques ont fait leur apparition. Son chagrin d’amour et ses soucis financiers lui coupent l’inspiration nécessaire pour peindre. « Il est aussi très choqué contre lui-même de s’être montré si naïf », ajoute le syndic, précisant que Gabriel a toutefois déménagé dans un logement plus abordable, et que, peu à peu, il remonte la pente.

SA SITUATION FINANCIÈRE

Actifs

  • Deux toiles d’une valeur de 1000 $ au total

Dettes

  • Cartes de crédit : (taux d’intérêt de 29 %) 25 000 $
  • Loyers impayés : 7500 $
  • Prêt personnel : 8000 $
  • Électricité : 1200 $
  • Dettes fiscales : 5000 $

►Total : 46 700 $


Revenus mensuels

  • Rente de retraite : 1500 $

►Total : 1500 $

Url : http://www.journaldemontreal.com/2018/07/05/se-blesser-en-descendant-de-sa-voiture-est-ce-couvert-par-la-saaq

 

 

Selon la loi, tous les Québécois sont couverts par la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ). Vous pourriez donc être indemnisé en cas de blessures causées dans un accident d’automobile.

Mais jusqu’où s’étend cette définition?

Qu’est-ce qu’un accident d’auto?

Lorsque vous pensez à un accident d’auto, vous imaginez généralement une personne qui roule en voiture et frappe quelque chose ou quelqu’un: une autre voiture, une personne, un mur… Mais la loi définit l’accident d’auto de façon plus large. Pour déterminer ce qui en est un et ce qui n’en est pas un, il faut établir le lien entre l’accident et l’usage du véhicule. Comme la nuance est parfois très subtile, de nombreux cas ont fait l’objet de décisions de justice.

La SAAQ les a indemnisés

Un homme qui roulait à vélo a voulu éviter la collision avec un véhicule stationné devant lui. Mais un autre véhicule arrivait derrière lui et ne lui laissait pas la place pour dépasser le véhicule stationné. Le cycliste est donc monté sur le trottoir, ce qui l’a fait chuter. L’homme a pu être indemnisé puisque l’accident a été causé par l’utilisation d’un véhicule, que l’homme a voulu éviter.

Dans une autre affaire, une femme qui marchait dans un stationnement a vu une voiture se diriger vers elle. En s’écartant pour l’éviter, la femme est tombée et s’est blessée à la jambe. Là aussi, elle a pu être indemnisée par la SAAQ, car l’accident était la conséquence de l’usage d’une voiture.

Deux décisions de justice ont été rendues cette année où les victimes ont chuté en déneigeant leur auto. Même si elles n’étaient pas encore au volant de leur voiture, le tribunal a décidé qu’il s’agissait d’accidents liés à l’usage de l’auto, puisqu’il est nécessaire de la déneiger pour pouvoir l’utiliser.

La SAAQ ne les a pas indemnisés

Un jeune garçon qui circulait à vélo a aperçu trop tard une voiture stationnée et l’a frappée en glissant sur le sol mouillé par la pluie. La Loi sur l’assurance automobile du Québec n’a pas été appliquée: l’usage de l’automobile n’était pas en cause, seulement l’usage de la bicyclette.

La même décision a été rendue dans certains cas où la victime a chuté peu après être descendue de sa voiture. Il ne s’agissait pas d’accidents d’auto, et elles n’ont donc pas pu être indemnisées par la SAAQ. Toutefois, dans plusieurs cas de chute en descendant du véhicule, la victime a pu être indemnisée.

Dans un cas plus extrême, en Floride, un Québécois en auto s’est fait intercepter par deux personnes armées.

L’une d’elles l’a blessé par balle à la tête. Mais il n’a pas été indemnisé par la SAAQ: le tribunal a conclu que c’était une tentative de meurtre sans lien avec l’usage du véhicule.

Vous pensez avoir été victime d’un accident de voiture? Rencontrez rapidement un médecin et communiquez avec la SAAQ pour faire une demande d’indemnisation.

Texte informatif – Ce texte ne constitue pas un avis juridique; il est recommandé de consulter un avocat ou un notaire pour un tel avis. Éducaloi est un organisme à but non lucratif dont la mission est d’informer les Québécois de leurs droits et obligations dans un langage clair».

 

Url : http://www.journaldemontreal.com/2018/06/23/la-maladie-reduit-de-moitie-leur-revenu-familial

 

Url : http://www.journaldemontreal.com/2018/06/20/les-revenus-libres-dimpot-pour-les-contribuables

 

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